La texture relativement lâche du fascia endothoracique est
difficile à apprécier sur le cadavre embaumé ; en
chirurgie, par contre, il forme un plan de clivage naturel
pemettant au chirurgien de séparer la plèvre costale
pariétale (qui tapisse la cavité pulmnaire) de la paroi
thoracique. Ceci permet d'accéder par voie intrathoracique à
des structures extrapleurales (comme, par ex., des nœuds
lymphatiques) et aussi d'insérer des instruments sans
ouvrir, ni risquer de contaminer la cavité pleurale, la cavité
virtuelle qui entoure le poumon.